mardi 16 octobre 2007

Dernière pensée du jour

Un dernier extrait de Deux Anglaises et le Continent dédié à tous nos amis anglophones qui apprennent le français.

Muriel, l'une des deux Anglaises, déclare à sa soeur et à Claude, son ami et "professeur" de français :

« Un peuple qui n’a que son sa ses comme possessifs, que le possesseur soit un homme ou une femme, n’est pas un peuple pratique. Il se laisse prendre le Canada. Il mit sa main sur son épaule peut avoir quatre sens différents. »

Je vous laisse à cette réflexion et vous parlerai la prochaine fois d'un essai de D.H. Lawrence, si toutefois je le retrouve.


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